(function(doc, html, url) { var widget = doc.createElement("div"); widget.innerHTML = html; var script = doc.currentScript; // e = a.currentScript; if (!script) { var scripts = doc.scripts; for (var i = 0; i < scripts.length; ++i) { script = scripts[i]; if (script.src && script.src.indexOf(url) != -1) break; } } script.parentElement.replaceChild(widget, script); }(document, '

Bilan de la Charte de la langue française (loi 101) en matière de langue d'enseignement.

What is it about?

Malgré la réussite générale de la politique linguistique québécoise, l’anglais exerce encore une forte attraction. Deux exemples : plusieurs jeunes qui choisissent de faire des études collégiales les font en anglais ; de nombreux francophones bilingues s’expriment spontanément en anglais devant des personnes sachant pourtant parler français. Le parrain de la loi 101, Camille Laurin, voulait «une loi qui répare, qui redresse et qui redonne confiance, fierté et estime de soi». Inspiré par Max Weber, nous avons montré que «le francophone du Québec n’a pas encore pleinement acquis son nouvel honneur linguistique».

Why is it important?

L'originalité de ce bilan tient au fait qu'il dépasse la dimension purement juridique de l’aménagement linguistique pour considérer toutes mesures touchant l’apprentissage du français, qu’elles soient inscrites ou non dans la loi. Ainsi, nous avons traité du choix de la langue d'enseignement au niveau collégial (cégeps) et de l’apprentissage du français par les immigrants adultes qui ne le connaissent pas à leur arrivée. Sauf erreur, il s'agit d'une première dans ce genre de bilan.

Read more on Kudos…
The following have contributed to this page:
Michel Paillé
' ,"url"));